Ode À Ma "Nénette"
Je nen menais pas large la première fois que tu mas laissé approcher ta nénette. Il faut dire que tu avais ce jour-là ta petite indisposition et un tampon barrait le chemin de ta petite grotte. Défi ! Timide que jétais, nerveux et maladroit, je tenais cependant à te montrer que tu avais eu raison de me choisir pour cette rencontre dont lobjet était de jouer avec le fantasme ; ou plutôt de tenter de déjouer les pièges tendus par les grains de sable. La jolie chambre de lOcéania se prêtait dailleurs à merveille pour ces premières explorations délicates et audacieuses en Terra Incognita.
Plus tard, jai découvert à quel point ta nénette métait devenue aussi indispensable que lair ou leau dans ma vie. Et ce ne sont pas les rares chattes que jai fait plus ou moins miauler sur mon chemin depuis notre rencontre qui ont pu me détourner de ta nénette, la seule qui réponde à toutes mes attentes de Glouton. Et comme je suis très difficile, tu mesureras limportance de ce compliment.
Dabord lapproche : la peau du ventre, des fesses et des cuisses est très douce, chaude, lisse. Bon présage. Puis, il y la végétation rase qui cache mal tes lieux dits secrets et dont je nai dailleurs toujours pas réussi à comprendre tous les mystères. Faute de temps. Et dexercices pratiques.
Si lenvie me prend, je pousse laudace à rapprocher mon visage, selon lambiance lumineuse, pour mieux contempler ta nénette, ou du moins ton bas ventre. Il contient tant de promesses. Na-t-il pas aussi créé la vie ? Cette approche me permet aussi de te humer, comme pour mieux mapproprier ton corps en douceur et me familiariser avec ton parfum de femme, toujours très subtil et à peine boisé.
Jaime aussi porter mes lèvres sur ta nénette, lui offrir de petits baisers, tout doux, tout en léchant un peu lintérieur de tes cuisses et en te caressant partout où mes mains ont envie de se laisser happer. Ah si je transpirais moins, je serais tellement plus sensuel et caressant pour toi
Puis je pose le pouce et lindex pour écarter un peu les grosses lèvres ; parfois, je pose les deux pouces comme pour touvrir et te faire rougir en écartant ton Moi intime.
Une fois bien écartées, tes grandes lèvres laissent découvrir ton corail écarlate, aux multiples anfractuosités dont la douce chaleur humide na dégale quune délicieuse onctuosité. Jaime que tu menseignes alors lart du cunnilingus, me demandant de bien élargir ma langue pour te lécher comme une glace italienne, fondante à souhait, exquise ; avant de remonter jusquà ton petit bouton sacré. Brûlant. Caresses papillons du bout de la langue, ni trop fortes ni trop légères. Lart de taimer est si difficile et subtil !
Mon souffle te chauffe le ventre tandis que mon nez te respire comme un animal, me remplissant au passage lesprit à plein poumons. Tu minspires. Tu sens la femelle. Ton cul laisse transparaître ses délicates effluves âcres que quelques coups de langue vont bientôt venir dissiper. Tu es bonne à ma bouche, ma tendre femelle, ma belle sauvage.
Ton flot se mêle à présent à ma salive, apportant à mes papilles ce goût exquis qui menivre toujours autant, léger, un rien marin. Rien à voir avec le goût aigre-doux voire sucré, de ce jus épais que tu me donnes parfois à déguster, harmonieux équilibre de ta cyprine et de mon sperme ; mélangés, unis.
Ta nénette se dilate à présent et appelle un doigt pour inspecter les parois et tenter de trouver le Point G. je palpe, je cherche, je tâte, le plus délicatement possible, jexerce de petites pressions du bout du majeur ou du pouce et caresse les tissus nervurés. Un jour, je te le promets, tu connaîtras léjaculation féminine. Laisse-moi le temps de mieux te prendre en mains
Cest que souvent tu arrêtes net, après avoir dégusté ton plaisir, mappelant souvent pour que je me présente à ta bouche. Tu veux du sexe. Tu la veux, tu aimes sucer. Ça texcite. Me faire bander du bout des lèvres ou à pleines lampées. Tu aimes ça. Tu vas en avoir. Tu pourrais en avoir plus mais tu ne sais pas toujours ce que tu veux, perdant de précieuses occasions de te faire du bien. Et de me donner, aussi, du plaisir.
Ta nénette est grande ouverte, tu veux que je te prenne, que je te caresse la fente avec ma queue raide ou encore molle qui va bander au contact de tes muqueuses accueillantes. Tu aimes sentir le gland, dont rien nest plus doux apparemment, frotter ton sillon, te faire de belles promesses ; sarrêter puis reprendre, te faire mijoter, impatiente que tu es désormais de te faire empaler. Ta nénette appelle et supplie, cest une bouche grande ouverte qui réclame son festin, une gorge profonde dont on pourrait voir la glotte. Mon sexe sempare alors millimètre par millimètre de ton territoire, que je ressens toujours comme vierge. Comme une première fois. Cest limpression que jaie à chaque fois. Cest comme ça !
Jeudi, lexcitation étant à son comble après 16 jours dabstinence, je nai pu retenir deux ou trois petites giclées de sperme qui se sont aussitôt mélangées à ta cyprines, faisant des bulles plus visqueuses que le meilleur gel. Cétait très beau, odorant, musqué, et très doux. Extrêmement doux. Tu étais belle et je te baisais doucement, sentant que tu ny tenais plus, tout comme moi dailleurs
Ta nénette brûlante mas alors aspiré tout entier, me laissant appuyer sur ton bas-ventre pour déclencher le volcan éteint depuis trop longtemps.
Ta nénette était apaisée pour un moment. Je voudrais tant encore la lécher, la cajoler, la laper, et te donner de longs baisers, si tu veux, à langues déployées pour savourer le bon goût de notre union !
Oui ta nénette est un roman fleuve.
Alors
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!